History of the Reign of Philip the Second, King of Spain Part 66 (1/2)

[571] ”Elle connait tout le merite du cardinal, sa haute capacite, son experience des affaires d'Etat, le zele et le devouement qu'il montre pour le service de Dieu et du Roi.” Correspondance de Philippe II., tom.

I. p. 266.

[572] ”D'un autre cote, elle reconnait que vouloir le maintenir aux Pays-Bas, contre le gre des seigneurs, pourrait entrainer de grands inconvenients, et meme le soulevement du pays.” Ibid., ubi supra.

[573] Reiffenberg, Correspondance de Marguerite d'Autriche, p. 26, note.

[574] Vandervynckt, Troubles des Pays-Bas, tom. II. p. 58.

[575] ”Vous ne me reconnaitriez plus, tant mes cheveux ont blanchi.”

Correspondance de Philippe II., tom. I. p. 268.

[576] Correspondance de Philippe II., tom. I. p. 274.

[577] ”Moi, qui ne suis qu'un ver de terre, je suis menace de tant de cotes, que beaucoup doivent me tenir deja pour mort; mais je tacherai, avec l'aide de Dieu, de vivre autant que possible, et si l'on me tue, j'espere qu'on n'aura pas gagne tout par la.” Ibid., p. 284.

[578] Archives de la Maison d'Orange-Na.s.sau, tom. I. p. 190.

[579] ”Hablandole yo en ello,” writes the secretary Perez to Granvelle, ”como era razon, me respondio que por su fee antes aventuraria a perder essos estados que hazer esse agravio a V. S. en lo qual conoscera la gran voluntad que le tiene.” Papiers d'Etat de Granvelle, tom. VII. p.

102.

[580] ”Cada vez que veo los des.p.a.chos de aquellos tres senores de Flandes me mueven la colera de manera que, sino procura.s.se mucho templarla, creo parecia a V. Magd mi opinion de hombre frenetico.” Carta del Duque de Alba al Rey, a 21 de Octobre de 1563, MS.

[581] ”A los que destos meriten, quiten les las cavecas, hasta poder lo hacer, dissimular con ellos.” Ibid.

[582] ”Comme je l'ai toujours trouve plein d'empress.e.m.e.nt et de zele pour tout ce qui touche le service da V. M. et l'avantage du pays, je supplie V. M. de faire au comte d'Egmont une reponse affectueuse, afin qu'il ne desespere pas de sa bonte.” Correspondance de Philippe II., tom I. p. 281.

[583] The letter--found among the MSS. at Besancon--is given by Dom Prosper Levesque in his life of the cardinal. (Memoires de Granvelle, tom. II. p. 52.) The worthy Benedictine a.s.sures us, in his preface, that he has always given the text of Granvelle's correspondence exactly as he found it; an a.s.surance to which few will give implicit credit who have read this letter, which bears the marks of the reviser's hand in every sentence.

[584] Memoires de Granvelle, tom. II. p. 55.

[585] ”Le prince d'Orange est un homme dangereux, fin, ruse, affectant de soutenir le peuple..... Je pense qu'un pareil genie qui a des vues profondes est fort difficile a menager, et qu'il n'est gueres possible de le faire changer.” Ibid., pp. 53, 54.

[586] ”Causant l'autre jour avec elle, le comte d'Egmont lui montra un grand mecontentement de ce que le Roi n'avait daigne faire un seul mot de reponse ni a lui, ni aux autres. Il dit que, voyant cela, ils etaient decides a ordonner a leur courrier qu'il revint, sans attendre davantage.” Correspondance de Philippe II., tom. I. p. 283.

[587] ”Il a pense, d'apres ce que le cardinal lui a ecrit, qu'il serait tres a propos qu'il allat voir sa mere, avec la permission de la d.u.c.h.esse de Parme. De cette maniere, l'autorite du Roi et la reputation du cardinal seront sauvees.” Ibid., p. 285.

[588] That indefatigable laborer in the mine of MSS., M. Gachard, obtained some clew to the existence of such a letter in the Archives of Simancas. For two months it eluded his researches, when in a happy hour he stumbled on this pearl of price. The reader may share the enthusiasm of the Belgian scholar. ”Je redoublai d'attention; et enfin, apres deux mois de travail, je decouvris, sur un pet.i.t chiffon de papier, la minute de la fameuse lettre dont faisait mention la d.u.c.h.esse de Parme: elle avait ete cla.s.see, par une meprise de je ne sais quel officiai, avec les papiers de l'annee 1562. On lisait en tete: _De mano del Rey; secreta._ Vous comprendrez, monsieur le Ministre, la joie que me fit eprouver cette decouverte: ce sont la des jouissances qui dedommagent de bien des fatigues, de bien des ennuis!” Rapport a M. le Ministre de l'Interieur, Ibid., p. clx.x.xv.

[589] ”M'esbayz bien que, pour chose quelconque, vous ayez delaisse d'entrer au conseil ou je vous avois laisse.” Correspondance de Guillaume le Taciturne tom. II. p. 67.

[590] ”Ne faillez d'y rentrer, et monstrer de combien vous estimez plus mon service et le bien de mes pays de dela, que autre particularite quelconque.” Ibid., p. 68.

[591] Abundant evidence of Philip's intentions is afforded by his despatches to Margaret, together with two letters which they inclosed to Egmont. These letters were of directly opposite tenor; one dispensing with Egmont's presence at Madrid,--which had been talked of,--the other inviting him there. Margaret was to give the one which, under the circ.u.mstances, she thought expedient. The d.u.c.h.ess was greatly distressed by her brother's manuvring. She saw that the course she must pursue was not the course which he would prefer. Philip did not understand her countrymen so well as she did.

[592] ”En effet, le prince d'Orange et le comte d'Egmont, les seuls qui se trouva.s.sent a Bruxelles, montrerent tant de tristesse et de mecontentement de la courte et seche reponse du Roi, qu'il etait a craindre qu'apres qu'elle aurait ete communiquee aux autres seigneurs, il ne fut pris quelque resolution contraire au service du Roi.”

Correspondance de Philippe II., tom. I. p. 294.

[593] ”Con la venida de Mons. de Chantonnay, mi hermano, a Bruxelles, y su determinacion de encamina.r.s.e a estas partes, me parescio tomar color de venir hazia aca, donde no havia estado en 19 anos, y ver a madama de Granvella, mi madre, que ha 14 que no la havia visto.” Ibid., p. 298.

Granvelle seems to have fondly trusted that no one but Margaret was privy to the existence of the royal letter,--”secret, and written with the king's own hand.” So he speaks of his departure in his various letters as a spontaneous movement to see his venerable parent. The secretary Perez must have smiled, as he read one of these letters to himself, since an abstract of the royal despatch appears in his own handwriting. The Flemish n.o.bles also--probably through the regent's secretary, Armenteros--appear to have been possessed of the true state of the case. It was too good a thing to be kept secret.

[594] Schiller, Abfall der Niederlande, p. 147.